“L'improvisation ne s'improvise pas, elle est un résultat.”
Louis Jouvet
Les animatrices et animateurs
Delphine Guisseau

" Comédienne, enseignante, coache, metteuse en scène, intervenante et formatrice en improvisation appliquée, autant de casquettes pour bien lui tenir chaud depuis qu'elle s'est rasée les cheveux.
Assistante sociale pendant dix ans, Delphine a décidé en 2019 d'allier passion et travail. Depuis, elle joue, elle enseigne, elle met en scène et elle utilise le théâtre pour pleins d'autres trucs super cools.
L'improvisation est pour elle un art délicat, sensible, à manier avec beaucoup de précautions et avec humour. Elle aime impliquer la totalité de son être et travaille en mélangeant danse, musique et impro.
Avec le CITO depuis 2015, elle partage la magie du présent et de l'éphémère, tant auprès des débutants, que des 2èmes ou 3èmes années et même auprès des lycéen.es. Elle a mis en scène avec certains de ses élèves, son spectacle "Nous sommes vraiment un groupe uni mais je crois bien qu'il n'y a plus de café" cette saison, et a déjà hâte d'être à la saison prochaine!
Elle aime les formats longs et apprendre encore et encore. Elle n'aime pas le mot bienveillance et préfère parler de générosité. Elle dit souvent " Make your partner look good" même si cette phrase n'est pas d'elle.
L'improvisation est l'art de tous les possibles. C'est un peu comme danser sur un fil tendu au-dessus du vide mais sans oublier que l'on est sécurisé. Il n'y a donc aucun danger à improviser, simplement de la peur. Et c'est exactement ce qui nous rend vivant!
Assistante sociale pendant dix ans, Delphine a décidé en 2019 d'allier passion et travail. Depuis, elle joue, elle enseigne, elle met en scène et elle utilise le théâtre pour pleins d'autres trucs super cools.
L'improvisation est pour elle un art délicat, sensible, à manier avec beaucoup de précautions et avec humour. Elle aime impliquer la totalité de son être et travaille en mélangeant danse, musique et impro.
Avec le CITO depuis 2015, elle partage la magie du présent et de l'éphémère, tant auprès des débutants, que des 2èmes ou 3èmes années et même auprès des lycéen.es. Elle a mis en scène avec certains de ses élèves, son spectacle "Nous sommes vraiment un groupe uni mais je crois bien qu'il n'y a plus de café" cette saison, et a déjà hâte d'être à la saison prochaine!
Elle aime les formats longs et apprendre encore et encore. Elle n'aime pas le mot bienveillance et préfère parler de générosité. Elle dit souvent " Make your partner look good" même si cette phrase n'est pas d'elle.
L'improvisation est l'art de tous les possibles. C'est un peu comme danser sur un fil tendu au-dessus du vide mais sans oublier que l'on est sécurisé. Il n'y a donc aucun danger à improviser, simplement de la peur. Et c'est exactement ce qui nous rend vivant!
Emilie rivet

Nombreuses créations radiophoniques enregistrées sur magnétophone dans sa chambre avec ses copines et ses poupées dans le Médoc.
En tournée dans différentes salles communales d’Eure-et-Loir avec une troupe semi-pro de danse moderne-jazz. Dirigée par Jessy, authentique meneuse de revue de cabaret parisien, elle lui inspire le sens de la paillette et du spectacle.
Journaliste de formation, Emilie raconte pendant 10 ans des milliers d'histoires pour la presse écrite quotidienne régionale et la télévision nationale publique.
Changement de métier en 2012. Elle recrute à Nantes des managers. L’impro lui sauve la vie.
Joueuse en troupes (Le Cidre, Les Transbordeurs), stagiaire (La Morsure, Yann Terrien, Caspar Schjelbred, Claudia Nottale) puis assez vite, coache auprès des nouveaux pratiquant.es.
Aujourd'hui, elle associe impro et formation professionnelle à l'expression orale au travail.
Capter les enjeux de l'instant et les mettre en scène l'amuse beaucoup.
À partir de 2019, elle crée et met en scène Olé olé, spectacle pour adulte portant sur le désir.
Elle reprend en parallèle la coordination de Catégorie Libre !, centre de ressources pour qui s'intéresse à l'impro et souhaite la développer sur le territoire.
« Je n'ai trouvé nulle part ailleurs un tel espace d'expérimentation, d'enthousiasme et de curiosité. En faisant confiance aux autres, l'improvisateur.ice développe sa propre confiance en soi. Le risque devient jeu. Wow, wow wow! »
En tournée dans différentes salles communales d’Eure-et-Loir avec une troupe semi-pro de danse moderne-jazz. Dirigée par Jessy, authentique meneuse de revue de cabaret parisien, elle lui inspire le sens de la paillette et du spectacle.
Journaliste de formation, Emilie raconte pendant 10 ans des milliers d'histoires pour la presse écrite quotidienne régionale et la télévision nationale publique.
Changement de métier en 2012. Elle recrute à Nantes des managers. L’impro lui sauve la vie.
Joueuse en troupes (Le Cidre, Les Transbordeurs), stagiaire (La Morsure, Yann Terrien, Caspar Schjelbred, Claudia Nottale) puis assez vite, coache auprès des nouveaux pratiquant.es.
Aujourd'hui, elle associe impro et formation professionnelle à l'expression orale au travail.
Capter les enjeux de l'instant et les mettre en scène l'amuse beaucoup.
À partir de 2019, elle crée et met en scène Olé olé, spectacle pour adulte portant sur le désir.
Elle reprend en parallèle la coordination de Catégorie Libre !, centre de ressources pour qui s'intéresse à l'impro et souhaite la développer sur le territoire.
« Je n'ai trouvé nulle part ailleurs un tel espace d'expérimentation, d'enthousiasme et de curiosité. En faisant confiance aux autres, l'improvisateur.ice développe sa propre confiance en soi. Le risque devient jeu. Wow, wow wow! »
Adrien Gibier

Petit déjà, il passe ses vacances scolaires à écrire, réaliser, jouer, monter des courts métrages avec son frère.
A Marseille, boum, le coup de foudre ! il découvre le théâtre contemporain au Théâtre du Petit Matin (directrice Nicole Yanni).
Puis boum, re-coup de foudre ! il se lance dans l'impro au MITHE (Mouvement d'Improvisation Théâtrale de Marseille) qui le propulse directement dans l'arène au cours d'une saison de matches qui le verra consacré meilleure recrue. Eh oui minot.
Après un passage par Paris où il fréquente le Cours Florent et le cours Raymond Acquaviva, et participes à diverses pièces, courts, moyens métrages, pubs, séries TV, et un long métrage cinéma (Débutants, Juan Pittaluga - tout est dans le titre), Adrien poursuit son voyage vers l'occident et atterrit à Nantes en 2014.
Il y joue notamment chez les Lutins Givrés, les Komikazs, et participe à deux saisons du spectacle humoristique le Burger Comedy Show au TNT.
Issue logique de cette trajectoire : Adrien a fini par se dévouer corps et âme à l'improvisation théâtrale. Il est aujourd'hui membre actif de plusieurs sectes d'illuminés. Dont le CITO, et les gens qui font du théâtre en entreprise.
Mon approche est très marquée par le théâtre, c'est ce qui définit mes exigences de travail, et de ce qui doit organiquement fonctionner dans une scène.
J'aime quand ça parle peu et que ça joue beaucoup.
J'aime bien aussi parler d'impro comme Jean-Claude Van Damme parle de philosophie, et j'ai une représentation de Thalie la Florissante tatouée sur le sein gauche.
A Marseille, boum, le coup de foudre ! il découvre le théâtre contemporain au Théâtre du Petit Matin (directrice Nicole Yanni).
Puis boum, re-coup de foudre ! il se lance dans l'impro au MITHE (Mouvement d'Improvisation Théâtrale de Marseille) qui le propulse directement dans l'arène au cours d'une saison de matches qui le verra consacré meilleure recrue. Eh oui minot.
Après un passage par Paris où il fréquente le Cours Florent et le cours Raymond Acquaviva, et participes à diverses pièces, courts, moyens métrages, pubs, séries TV, et un long métrage cinéma (Débutants, Juan Pittaluga - tout est dans le titre), Adrien poursuit son voyage vers l'occident et atterrit à Nantes en 2014.
Il y joue notamment chez les Lutins Givrés, les Komikazs, et participe à deux saisons du spectacle humoristique le Burger Comedy Show au TNT.
Issue logique de cette trajectoire : Adrien a fini par se dévouer corps et âme à l'improvisation théâtrale. Il est aujourd'hui membre actif de plusieurs sectes d'illuminés. Dont le CITO, et les gens qui font du théâtre en entreprise.
Mon approche est très marquée par le théâtre, c'est ce qui définit mes exigences de travail, et de ce qui doit organiquement fonctionner dans une scène.
J'aime quand ça parle peu et que ça joue beaucoup.
J'aime bien aussi parler d'impro comme Jean-Claude Van Damme parle de philosophie, et j'ai une représentation de Thalie la Florissante tatouée sur le sein gauche.
Anne K
Dès la naissance, ses parents ont su qu’elle était comédienne.
Peut-être même trop. C’est chez les chtis, qu’elle a découvert le théâtre de la vie et c’est en région parisienne qu’est venue la théorie. Après 4 ans de théâtre au conservatoire de Puteaux, l’improvisation théâtrale s’est imposée à elle en 2010 à l’EFIT (Ecole Française d’Improvisation Théâtrale). L’impro a été une porte ouverte à l’écriture et notamment au seule en scène. L’objectif est de faire passer des émotions pour provoquer des émotions. Peut-être même plus. Aujourd’hui, l’improvisation est un outil du quotidien qu’elle pratique et transmet. Peut-être même pas assez. Sa citation : « La vie est une fête. Allez sers m’en un autre ! » Cliquer ici pour modifier. |
GOUP

Arrivé sur Nantes en 2015, Goup s’est demandé comment occuper son temps libre… Après une longue hésitation entre un cours de badminton et des cours d'improvisations, il finit par choisir l’improvisation parce qu’une fois il avait vu un spectacle avec un mec qui jouait un pingouin et c’était rigolo.
Effectivement c’est rigolo, et même qu’on se marre bien !
Mais avec l’expérience il découvre aussi que improviser c’est construire des histoires, avec des personnages qui peuvent avoir plusieurs niveaux de lecture, plusieurs facettes, des motivations cachées…
Improviser c’est un moyen d’apprendre à se connaître et à mieux connaître les autres.
Effectivement c’est rigolo, et même qu’on se marre bien !
Mais avec l’expérience il découvre aussi que improviser c’est construire des histoires, avec des personnages qui peuvent avoir plusieurs niveaux de lecture, plusieurs facettes, des motivations cachées…
Improviser c’est un moyen d’apprendre à se connaître et à mieux connaître les autres.
Pauline
Depuis petite, Pauline s’entraîne à jouer, chanter, bouger pour faire naître des émotions à son premier public de fans : ses parents. Parcours théâtral commencé à Nantes, où dès 10 ans, elle se prend déjà quelques chaussons sur des impro loupées (Comment savoir qui était Cyrano à 10 ans ?), et sait déjà au fond d’elle que jamais elle ne se séparera du théâtre et du sentiment de liberté que lui procure la scène.
Fini les couettes et la cour d’école. Elle s’écarte de l’improvisation pure pour faire évoluer ses techniques variées. Elle passe par du théâtre contemporain, du clown et du classique. Puis petit à petit, elle revient à son premier amour. Sa première liberté : l’impro. Elle intègre en 2015 Impro Academy et la Strandovie, à Lille. Puis, retour au source à Nantes en 2017 où le CITO l’accueille. Depuis, elle vagabonde entre le théâtre familial (« Tous Gros Demain ? » spectacle sur la chaîne alimentaire en galère, où elle partage la scène avec ses parents !), le théâtre classique (compagnie « de Cour au Jardin ») et l’improvisation. Depuis 2020, elle prend plaisir à partager et accompagner les élèves du Cito à découvrir l’impro et à se découvrir sur scène … et pourquoi pas, à ressentir cette liberté corporelle et émotionnelle tant recherchée. Elle intervient également en entreprise ou au sein d’unités hospitalières pour aborder l’impro comme vecteur de relations et d’émotions. « Parler d’impro, c’est parler de corps, d’émotions et de rencontres. Jouer, c’est créer une mélodie où le corps, les mots et les émotions s’entremêlent pour créer des histoires merveilleuses. » -- Pauline G. |