“L'improvisation ne s'improvise pas, elle est un résultat.”
Louis Jouvet
Les animatrices et animateurs
Delphine Guisseau

Amoureuse du théâtre d'improvisation depuis plus de 10 ans, Delphine s'engage corps et âme dans cette discipline et la transmission de celle-ci.
Au départ, une histoire de hasard lorsqu'elle décide, après un an de théâtre classique, de pousser la porte d'un cours d'improvisation proposé par la LINA (Ligue d'Improvisation de Nantes Atlantique) en 2009. Elle tombe immédiatement sous le charme de ce nouveau jeu et découvre peu à peu les origines de cet art, par le biais du match d'improvisation. Entre 2012 et 2017, embarquée par l'envie de nouvelles rencontres et de plus de jeu, elle fera partie en parallèle de deux troupes nantaises, les Lutins Givrés et le Cidre. En 2015, elle rejoint l'équipe du CITO et anime les ateliers. Elle accompagne également les élèves sur la mise en scène de leurs spectacles. Elle coache aussi ponctuellement des troupes nantaises, comme La Cocotte Minute ou La Sympa'TIC.
Sa soif d'apprendre n'étant jamais rassasiée, elle diversifie depuis 2016 les approches, à travers des stages, des workshops. A l'occasion de l'un de ces stages, elle rencontre « La Morsure » et participe maintenant régulièrement à différentes créations ou recherche artistique de cette compagnie comme le Banquet, 7. Elle se forme également à la danse contemporaine (danse improvisée, pathing through, danse contact), notamment sous la direction de la chorégraphe Florence Loison. Depuis 2018, électron libre de la scène nantaise, elle s'engage sur des projets spécifiques ; Cookies, pièce de théâtre improvisée traitant des relations toxiques - Maestro , format d'improvisation dirigée.
L'improvisation a été une évidence pour moi car j'aime sa complexité et son accessibilité. Tu comprends très vite le fonctionnement, les bases, tu peux très vite jouer sur scène et en même temps tu enrichis ta pratique à chaque fois.
Chaque contrainte de jeu, chaque rencontre, chaque catégorie est un nouveau challenge, un nouvel apprentissage. L'improvisation est une passion : je la partage.
J'aime voir mes élèves s'amuser avec cette nouvelle matière et l'apprivoiser peu à peu.
J'aime que mes ateliers soient des terrains de jeu de vie.
J'aime que mes élèves s'appuient sur ce qu'ils sont : nous sommes notre plus belle matière !
Moi même, je m'appuie continuellement sur mon expérience de comédienne pour enseigner : la danse et la musique sont donc au cœur de mes ateliers.
Ce que je dis souvent à mes élèves : « Respire. »
Au départ, une histoire de hasard lorsqu'elle décide, après un an de théâtre classique, de pousser la porte d'un cours d'improvisation proposé par la LINA (Ligue d'Improvisation de Nantes Atlantique) en 2009. Elle tombe immédiatement sous le charme de ce nouveau jeu et découvre peu à peu les origines de cet art, par le biais du match d'improvisation. Entre 2012 et 2017, embarquée par l'envie de nouvelles rencontres et de plus de jeu, elle fera partie en parallèle de deux troupes nantaises, les Lutins Givrés et le Cidre. En 2015, elle rejoint l'équipe du CITO et anime les ateliers. Elle accompagne également les élèves sur la mise en scène de leurs spectacles. Elle coache aussi ponctuellement des troupes nantaises, comme La Cocotte Minute ou La Sympa'TIC.
Sa soif d'apprendre n'étant jamais rassasiée, elle diversifie depuis 2016 les approches, à travers des stages, des workshops. A l'occasion de l'un de ces stages, elle rencontre « La Morsure » et participe maintenant régulièrement à différentes créations ou recherche artistique de cette compagnie comme le Banquet, 7. Elle se forme également à la danse contemporaine (danse improvisée, pathing through, danse contact), notamment sous la direction de la chorégraphe Florence Loison. Depuis 2018, électron libre de la scène nantaise, elle s'engage sur des projets spécifiques ; Cookies, pièce de théâtre improvisée traitant des relations toxiques - Maestro , format d'improvisation dirigée.
L'improvisation a été une évidence pour moi car j'aime sa complexité et son accessibilité. Tu comprends très vite le fonctionnement, les bases, tu peux très vite jouer sur scène et en même temps tu enrichis ta pratique à chaque fois.
Chaque contrainte de jeu, chaque rencontre, chaque catégorie est un nouveau challenge, un nouvel apprentissage. L'improvisation est une passion : je la partage.
J'aime voir mes élèves s'amuser avec cette nouvelle matière et l'apprivoiser peu à peu.
J'aime que mes ateliers soient des terrains de jeu de vie.
J'aime que mes élèves s'appuient sur ce qu'ils sont : nous sommes notre plus belle matière !
Moi même, je m'appuie continuellement sur mon expérience de comédienne pour enseigner : la danse et la musique sont donc au cœur de mes ateliers.
Ce que je dis souvent à mes élèves : « Respire. »
Emilie rivet

Nombreuses créations radiophoniques enregistrées sur magnétophone dans sa chambre avec ses copines et ses poupées dans le Médoc.
En tournée dans différentes salles communales d’Eure-et-Loir avec une troupe semi-pro de danse moderne-jazz. Dirigée par Jessy, authentique meneuse de revue de cabaret parisien, elle lui inspire le sens de la paillette et du spectacle.
Journaliste de formation, Emilie raconte pendant 10 ans des milliers d'histoires pour la presse écrite quotidienne régionale et la télévision nationale publique.
Changement de métier en 2012. Elle recrute à Nantes des managers. L’impro lui sauve la vie.
Joueuse en troupes (Le Cidre, Les Transbordeurs), stagiaire (La Morsure, Yann Terrien, Caspar Schjelbred, Claudia Nottale) puis assez vite, coache auprès des nouveaux pratiquant.es.
Aujourd'hui, elle associe impro et formation professionnelle à l'expression orale au travail.
Capter les enjeux de l'instant et les mettre en scène l'amuse beaucoup.
À partir de 2019, elle crée et met en scène Olé olé, spectacle pour adulte non-mixte portant sur le désir.
Elle reprend en parallèle la coordination de Catégorie Libre !, centre de ressources pour qui s'intéresse à l'impro et souhaite la développer sur le territoire.
« Je n'ai trouvé nulle part ailleurs un tel espace d'expérimentation, d'enthousiasme et de curiosité. En faisant confiance aux autres, l'improvisateur.ice développe sa propre confiance en soi. Le risque devient jeu. Wow, wow wow! »
En tournée dans différentes salles communales d’Eure-et-Loir avec une troupe semi-pro de danse moderne-jazz. Dirigée par Jessy, authentique meneuse de revue de cabaret parisien, elle lui inspire le sens de la paillette et du spectacle.
Journaliste de formation, Emilie raconte pendant 10 ans des milliers d'histoires pour la presse écrite quotidienne régionale et la télévision nationale publique.
Changement de métier en 2012. Elle recrute à Nantes des managers. L’impro lui sauve la vie.
Joueuse en troupes (Le Cidre, Les Transbordeurs), stagiaire (La Morsure, Yann Terrien, Caspar Schjelbred, Claudia Nottale) puis assez vite, coache auprès des nouveaux pratiquant.es.
Aujourd'hui, elle associe impro et formation professionnelle à l'expression orale au travail.
Capter les enjeux de l'instant et les mettre en scène l'amuse beaucoup.
À partir de 2019, elle crée et met en scène Olé olé, spectacle pour adulte non-mixte portant sur le désir.
Elle reprend en parallèle la coordination de Catégorie Libre !, centre de ressources pour qui s'intéresse à l'impro et souhaite la développer sur le territoire.
« Je n'ai trouvé nulle part ailleurs un tel espace d'expérimentation, d'enthousiasme et de curiosité. En faisant confiance aux autres, l'improvisateur.ice développe sa propre confiance en soi. Le risque devient jeu. Wow, wow wow! »
Adrien Gibier

Petit déjà, il passe ses vacances scolaires à écrire, réaliser, jouer, monter des courts métrages avec son frère.
A Marseille, boum, le coup de foudre ! il découvre le théâtre contemporain au Théâtre du Petit Matin (directrice Nicole Yanni).
Puis boum, re-coup de foudre ! il se lance dans l'impro au MITHE (Mouvement d'Improvisation Théâtrale de Marseille) qui le propulse directement dans l'arène au cours d'une saison de matches qui le verra consacré meilleure recrue. Eh oui minot.
Après un passage par Paris où il fréquente le Cours Florent et le cours Raymond Acquaviva, et participes à diverses pièces, courts, moyens métrages, pubs, séries TV, et un long métrage cinéma (Débutants, Juan Pittaluga - tout est dans le titre), Adrien poursuit son voyage vers l'occident et atterrit à Nantes en 2014.
Il y joue notamment chez les Lutins Givrés, les Komikazs, et participe à deux saisons du spectacle humoristique le Burger Comedy Show au TNT.
Issue logique de cette trajectoire : Adrien a fini par se dévouer corps et âme à l'improvisation théâtrale. Il est aujourd'hui membre actif de plusieurs sectes d'illuminés. Dont le CITO, et les gens qui font du théâtre en entreprise.
Mon approche est très marquée par le théâtre, c'est ce qui définit mes exigences de travail, et de ce qui doit organiquement fonctionner dans une scène.
J'aime quand ça parle peu et que ça joue beaucoup.
J'aime bien aussi parler d'impro comme Jean-Claude Van Damme parle de philosophie, et j'ai une représentation de Thalie la Florissante tatouée sur le sein gauche.
A Marseille, boum, le coup de foudre ! il découvre le théâtre contemporain au Théâtre du Petit Matin (directrice Nicole Yanni).
Puis boum, re-coup de foudre ! il se lance dans l'impro au MITHE (Mouvement d'Improvisation Théâtrale de Marseille) qui le propulse directement dans l'arène au cours d'une saison de matches qui le verra consacré meilleure recrue. Eh oui minot.
Après un passage par Paris où il fréquente le Cours Florent et le cours Raymond Acquaviva, et participes à diverses pièces, courts, moyens métrages, pubs, séries TV, et un long métrage cinéma (Débutants, Juan Pittaluga - tout est dans le titre), Adrien poursuit son voyage vers l'occident et atterrit à Nantes en 2014.
Il y joue notamment chez les Lutins Givrés, les Komikazs, et participe à deux saisons du spectacle humoristique le Burger Comedy Show au TNT.
Issue logique de cette trajectoire : Adrien a fini par se dévouer corps et âme à l'improvisation théâtrale. Il est aujourd'hui membre actif de plusieurs sectes d'illuminés. Dont le CITO, et les gens qui font du théâtre en entreprise.
Mon approche est très marquée par le théâtre, c'est ce qui définit mes exigences de travail, et de ce qui doit organiquement fonctionner dans une scène.
J'aime quand ça parle peu et que ça joue beaucoup.
J'aime bien aussi parler d'impro comme Jean-Claude Van Damme parle de philosophie, et j'ai une représentation de Thalie la Florissante tatouée sur le sein gauche.
Anne K
Dès la naissance, ses parents ont su qu’elle était comédienne.
Peut-être même trop. C’est chez les chtis, qu’elle a découvert le théâtre de la vie et c’est en région parisienne qu’est venue la théorie. Après 4 ans de théâtre au conservatoire de Puteaux, l’improvisation théâtrale s’est imposée à elle en 2010 à l’EFIT (Ecole Française d’Improvisation Théâtrale). L’impro a été une porte ouverte à l’écriture et notamment au seule en scène. L’objectif est de faire passer des émotions pour provoquer des émotions. Peut-être même plus. Aujourd’hui, l’improvisation est un outil du quotidien qu’elle pratique et transmet. Peut-être même pas assez. Sa citation : « La vie est une fête. Allez sers m’en un autre ! » |